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Citizen Kid

Là où vivent les êtres sauvages au Studio Fotokino +5 ans

Charles Fréger, "Caretos de Lazarim, Portugal"
credits

Ça parle de quoi ?

Au Studio Fotokino, du 4 au 26 mai prochain : "Là où vivent les êtres sauvages", exposition collective regroupant trois artistes, soit un photographe, une graveuse et une dessinatrice, autour de la question du sauvage.

On ne se lasse pas de vous conseiller d'aller faire un tour chez Fotokino, la très chouette galerie marseillaise dont chaque nouvelle expo semble encore plus attirante que la précédente. Du 4 au 26 mai prochain s'y tiendra Là où vivent les êtres sauvages, exposition collective regroupant trois artistes, soit un photographe, une graveuse et une dessinatrice, autour de la question du sauvage.

Quelque part entre un hommage à Max et les Maximonstres et à l'art premier : une exposition à l’envoûtante étrangeté.

Charles Fréger

Photographe attaché à la question de l'uniforme, il donne à voir au Studio Fotokino sa récente série de photos qui mettent en scène des hommes déguisés en animaux ou créatures fantasmagoriques, comme des incarnations symboliques du sauvage. Étrangement attirantes, la beauté mystérieuse de ces images a été glanée aux quatre coins de l'Europe, de la Finlande à la Sardaigne en passant par la Grèce et l’Allemagne.

Muriel Moreau

Graveuse de son état, elle n'en maîtrise pas moins les techniques de l'eau-forte, pour créer de bizarres motifs végétaux et organiques, bicolores et quasi-abstraits. Le résultat ressemble à une cartographie imaginaire à l'esthétique brutale bien que tout à fait délicate. En parallèle des gravures et des eaux fortes, elle produit des films où se confondent les territoires de l'humain, de l'animal et du végétal, où l'artiste se met en scène, grimée et déguisée en des créatures indéfinissables, pour un résultat qui évoque étrangement le travail de son conscrit Charles Fréger.

Karine Rougier

La frontière entre l'animal et le végétal est tout aussi brouillée, dans les minutieux dessins de Karine Rougier. Doux et pourtant monstrueux, l'univers esthétique de cette jeune artiste d'à peine 30 ans marque autant par son efficacité très graphique que par sa candide inventivité. S'y déploie un bestiaire aussi attirant que repoussant : les masques y sont animaliers et les animaux y avancent masqués...

Dans le cadre de Marseille Provence 2013 capitale européenne de la culture

Article créé par Aurore Lemaître le 23 avr. 2013

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