Parc animalier d'Estourmel +4 ans

Sur 6 hectares arborés vous pouvez voir évoluer : aras Arararauna, aras Macao, cobayes Péruviens, oies, canards, paons, wallaby de Bennett, émeus, ânes du Poitou, alpagas, chêvres naines, , chêvres du Rove, moutons de Soay, zébus nains, dromadaires, lamas, groupe de macaques du Japon, poneys, troupeau de daims et ratons laveur. La plupart des animaux vivent en semi liberté.

Vingt-cinq especes différentes

Yaks, macaques du Japon, ânes du Poitou, kangourous, perroquets, lamas, chameaux, etc, au total, pas moins de vingt-cinq especes cohabitent en semi liberté sur les six hectares de la propriété. "Eh regarde ! Les kangourous sont en liberté. . . ", s'exclame cette petite fille encore toute surprise de voir s'approcher l'animal aussi pres.
Depuis sa création, en 1967, le parc n'a cessé de s'enrichir et d'évoluer sans jamais pourtant céder à la facilité de l'enfermement. "Notre objectif est vraiment de laisser un maximum de liberté aux animaux", insiste M. Porez qui a pour principal projet le regroupement des animaux par continent d'origine.
Une nouvelle espece a fait son entrée cette année dans le parc animalier : le watussi, une vache originaire d'Afrique, le résultat d'un croisement entre le zébu et le boeuf du Nil. L'animal est vénéré par les peuples Massai et Watussi. Les mâles et les femelles portent des cornes qui peuvent atteindre jusqu'à 2, 50 mètres d'envergure.

Outre les espaces animaliers, le parc d'Estourmel propose a ses visiteurs une aire de jeux et de pique-nique. Les scolaires de l'arrondissement connaissent bien les lieux.

Le repas des macaques : à 17 h, Claude le vous invite a assister au repas des macaques, qui a eux seuls engloutissent quelques tonnes de fruits par an.

Activités : Le repas des macaques