Totem et Tattoo : nos ancêtres les modernes +6 ans
Ça parle de quoi ?
La galerie des enfants du Centre Pompidou présente Totem et Tattoo : nos ancêtres les modernes. Une exposition contée pour les enfants de 6 à 12 ans du 12 avril au 22 septembre 2014.
Art premier et art moderne
La Galerie des enfants du Centre Pompidou invite régulièrement des acteurs de la scène artistique contemporaine pour sensibiliser les enfants.
Olivier Vadrot convie les enfants à découvrir son univers et son processus créatif.
Les enfants déambulent au cœur d'un village de tipis à l'exploration d’œuvres issues de la collection du Centre Pompidou.
Ainsi ils se familiarisent avec les arts premiers et l'art moderne dans la pénombre des tentes, à la lumière d'une lampe torche.
Ils découvrent les sculptures et dessins de Victor Brauner, Alexander Calder, Max Ernst, Man Ray et Joan Miró.
Une exposition contée
« Totem et Tattoo » invite les enfants à regarder et à se confronter réellement aux œuvres, à travers un récit qui sert de fil conducteur.
Un récit de Pierre Senges mis en musique par Sébastien Roux complète ce parcours.
Il conte l'histoire de la tribu indienne Pupyopac dont le chef s’est entiché d’art moderne et se met en quête de quelques unes de ces œuvres d’un nouveau genre.
Article créé par Chloé Dutreix le 16 avr. 2014
Quant aux oeuvres présentées, leur petit nombre est dû au fait que beaucoup d'oeuvres que l'artiste avait sélectionnées n'ont pas pu être présentées (un tableau exposé quelques mois doit ensuite passer 5 ans dans le noir complet avant de pouvoir être réexposé). C'est également pour cette raison que les oeuvres dans les tipis sont dans le noir (et donc "mal mises en valeur").
Malgré tout, les quelques oeuvres que vous avez pu voir nous viennent de grands artistes (Calder, Ernst, Miro...).
Pour finir, il est normal que vous n'ayez pas trouvé les textes drôles, car cette exposition était avant tout dédiée aux ENFANTS, qui pour la plupart ont passé un bon moment (je parle en connaissance de cause).
Belle exposition pour ma part.
L'accompagnement sonore fait sourire au début (d'incrédulité), puis devient vite lassant : divagations sur les œuvres, interprétations farfelues qui se veulent drôles, mais ne le sont pas du tout.
A éviter.