Zootopie : les voix françaises se transforment en animaux

Entrez dans l'univers de "Zootopie", le prochain film d'animation Disney ! Les voix françaises se mettent dans la peau des animaux pour répondre à nos questions.

Si vous pouviez choisir, quel animal seriez-vous ?

Fred Testot : Je suis un guépard gourmand et je resterai guépard gourmand ! Benjamin Clawhauser.

Claire Keim : Ma brebis est pas mal du tout, j'ai appris à l'aimer et je m'en séparerais plus.

Teddy Riner : Je serais Finnick, mon personnage du film ! Parce que le contraste entre lui et moi m'a paru particulièrement drôle. C'est super marrant quand ce petit animal s'exprime avec ma grosse voix. Mais si je devais être un animal dans la savane, je choisirais le lion.

Pascal Elbé : Le buffle comme Bogo parce qu'en général on les laisse tranquille dans la savane, ce ne sont pas ceux qu'on va embêter les premiers. Mais j'aime beaucoup les éléphants aussi et les stars de la savane : les félins. Ils ressemblent à John Wayne.

Thomas Ngijol : Je serais un lion. C'est lié à ma culture, les gens de mon pays d'origine on les appelle les lions indomptables.

Lubna Gourion : Une lionne ou un guépard, rien que pour la vitesse.

Isabelle Desplantes : J'aurais adorer faire un paresseux. Ils sont tellement drôles !

Dans "Zootopie", vous seriez plutôt proie ou prédateur ?

Fred Testot : Moi proidateur, un petit mélange. On se fait chasser et après on chasse.

Claire Keim : Définitivement dans le clan des proies, il y a quand même que 10 % de prédateur donc ça me laisse peu de chances. Mais ça empêche pas qu'on peut se faire plaisir et faire quelques coups tordus.

Teddy Riner : Moi je suis un prédateur ! Dans la vie, je me laisse pas faire. Et attention à mon personnage, c'est un gros prédateur aussi, méfiez-vous.

Pascal Elbé : Proie parce que prédateur c'est fatigant, faut tout le temps être en train de chasser. Je ne suis pas un prédateur, j'aime bien charmer mais sans être dans la chasse. Et puis proie ça veut dire qu'on est désirable, même si ça finit souvent mal.

Thomas Ngijol : Dans le film, je préfèrerais être un yak comme mon personnage. Il est naturiste, rasta, il est à l'ouest. Il est pas là longtemps mais il est là.

Isabelle Desplantes : A choisir, je préfère être prédatrice. Dans la vie je pense qu'on est un coup proie, un coup prédateur.

Lubna Gourion : On peut être les deux.

Vous aviez un animal de compagnie quand vous étiez enfant, ou un animal préféré ?

Fred Testot : J'avais un cheval, je faisais beaucoup d'équitation. Je vivais à la campagne, les chevaux étaient libres. A Paris c'est sûr, tu tiens pas 5 minutes avec un cheval sans te prendre une amende.

Claire Keim : Moi j'avais des tortues, des chiens. Et j'ai eu la chance d'être élevée dans une ferme donc ce n'était pas mes animaux de compagnie mais j'allais les voir avec plaisir. Surtout les ânes, qui sont mes animaux préférés.

Teddy Riner : Quand j'étais petit c'était le dauphin. Maintenant je dirais le chien parce que c'est doux et attachant.

Pascal Elbé : J'avais une perruche. J'ai beaucoup pleuré quand elle est partie. D'ailleurs Fifi si tu nous regardes, sache que papa est très fier de toi.

Thomas Ngijol : Un lion (rires). Non, j'avais un chat et un lapin qui a disparu dans des conditions troubles, j'étais petit.

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